Sessions pour Débutants de formation au chant grégorien
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Mgr Nicolas Brouwet, évêque de Tarbes et Lourdes:
« Face à la crise profonde que nous traversons, face à la remise en cause de la famille et face aux atteintes à la vie humaine ; devant les projets de loi qui visent à bouleverser notre société et notre civilisation, il y a beaucoup à faire. Sur le plan de la réflexion et du dialogue d'abord. Sur le plan de l'éducation. A travers des œuvres sociales et par l'engagement politique.
Mais qu'est-ce que nos évêques attendent ? Nos évêques approuvent-ils les lois concoctées dans les loges maçonniques ? Désirent-ils favoriser ou simplement consentir aux changements de civilisation impulsés par le Gouvernement socialiste ? Nous avons connu la même attitude de l'Episcopat au moment des manifestations pour la défense de l'école libre.
Faut-il leur rappeler qu'un catholique ne peut être ni socialiste, ni franc-maçon ?
Si le cardinal Barbarin a annoncé sa participation à La Manif Pour Tous à Lyon, aucune participation d'évêque n'est annoncée pour Paris. Serait-ce parce que Mgr Vingt-Trois a eu la faiblesse d'accepter la légion d'honneur de la part d'un régime athée et christianophobe ? Quant à Mgr Lalanne, son agenda indique qu'il va inaugurer une salle et célébrer les Vêpres ! Est-ce plus important que défendre la famille contre ceux qui l'attaquent ?
Quel silence assourdissant ! Quelle responsabilité !
Mais le pape dit aujourd'hui: "J'adresse mon salut et mes encouragements aux associations, aux mouvements et aux centres culturels engagés dans la défense et la promotion de la vie." En novembre 2013, il disait aux autorités italiennes: «Au centre des espérances et difficultés sociales, il y a la famille. L'Eglise continue de promouvoir l'engagement de tous, particuliers et institutions, pour le soutien de la famille, qui est le premier lieu (...) dans lequel s'apprennent les valeurs et les exemples qui les rendent crédibles». «La famille a besoin de la stabilité et de la reconnaissance des liens réciproques (...) Tandis qu'elle met à disposition ses énergies, elle demande à être appréciée, valorisée et protégée», a ajouté le souverain pontife.
Manuel Valls a appelé la gauche, mercredi 22 janvier, à combattre avec « la même vigueur » les intégristes catholiques et les revendications religieuses dans les banlieues.
Qu'est-ce qu'un "intégriste catholique" selon M. Valls ? Quelqu'un de très vilain, et sur le fond ceux qui sont intervenus contre le mariage homo et contre la suppression de la notion de détresse dans la définition de l'avortement.
A ce compte, les "intégristes catholiques" sont très nombreux en France, y compris le plus grand nombre qui ignorent eux-même totalement qu'ils sont selon Valls et catholiques et intégristes.
En particulier, la masse des catholiques "Paul VI" va découvrir qu'elle est elle-même "intégriste catholique".
Le pape François lui-même n'est pas cité par Valls, mais le discours du pape anti mariage homo et contre l'IVG le font rentrer pleinement dans la case "intégriste catholique".
L'Association catholique des Infirmières, Médecins et Personnels de Santé est en mission aux Philippines sur les lieux du typhon qui a sévi à Tacloban.
Le pape François a apporté son soutien à la "marche pour la vie" organisée ce week-end par des organisations de catholiques français contre la politique de leur gouvernement en matière d'avortement et de fin de vie, a rapporté Radio Vatican.
Dans un message aux organisateurs, publié par la radio du Saint-Siège, le nonce apostolique en France, Mgr Luigi Ventura, écrit que "le pape François est informé de cette initiative en faveur du respect de la vie humaine". "Il salue les participants à cette marche et les invite à maintenir vive leur attention pour ce sujet si important".
Une pétition circule pour "alerter" le pape sur la politique française hostile aux positions fondamentales des chrétiens sur les questions de la vie et de la famille. Lors de son message lundi au corps diplomatique, le pape François avait exprimé "l'horreur" que suscite en lui l'avortement et appelé les gouvernements à défendre la famille.
Lettre ouverte au Pape: http://www.citizengo.org/fr/
Lu sur Médias-Presse.Info
Entretien exclusif avec le Docteur Jean-Pierre Dickès, président de l’Association Catholique des Infirmières et Médecins (Acim), directeur d’émission à Radio Courtoisie et… fidèle rédacteur chez Médias-Presse.Info.
Le jour de l'Immaculée Conception, le commissaire Volpi a décrété l'interdit sur les Franciscains de l'Immaculée
Après le Décret nommant un Commissaire, pris en date du 11 juillet dernier, le Père Volpi, avec l’aide d’un petit nombre de sous-commissaires déchaînés, dont le Père Alfonso Bruno et le Pr. Mario Castellano, a commencé son travail de sape de l’Institut. Il a interdit la célébration de la Messe et de la Liturgie des Heures selon la forme extraordinaire du Rite romain, pourtant prévue par le Motu proprio Summorum pontificum ; il a déposé l’ensemble du gouvernement général de l’ordre, à commencer par le fondateur, le Père Stefano Maria Manelli, qui se trouve assigné à résidence sans en connaître les raisons ; il a destitué et transféré l’un après l’autre les plus fidèles collaborateurs du Père Manelli, toutes personnalités de haut niveau intellectuel et moral, attribuant leurs charges à des religieux dissidents, souvent incultes et dépourvus d’expérience de gouvernement ; il a menacé et puni les religieux qui avaient adressé une pétition au Saint-Siège et refusaient de la retirer ; enfin, par un diktat daté du 8 décembre 2013, il a fermé le Séminaire, suspendu les ordinations sacerdotales et diaconales et frappé d’interdit les publications de la maison d’édition Casa Mariana, interdisant de les diffuser dans les églises et sanctuaires confiés aux religieux ; il a étendu sa guerre personnelle aux tertiaires et aux laïcs qui soutiennent l’Institut, suspendant toutes les activités de la MIM (Mission Immaculée Médiatrice) et du TOFI (Tiers Ordre franciscain de l’Immaculée) ; il a également menacé de faire nommer un Commissaire pour l’Institut des religieuses franciscaines de l’Immaculée et leur a retiré, ainsi qu’aux Clarisses de l’Immaculée, l’assistance spirituelle des religieux. Il prétend enfin imposer à tous les religieux un “serment moderniste” de fidélité au Novus Ordo Missae et au Concile Vatican II.
Yves Daoudal
Dans sa Lettre Pastorale intitulée « Avec pleine assurance et sans entrave » (pdf 12 pages), publiée à l'occasion de l'Avent 2013, Mgr Roland Minnerath, archevêque de Dijon, écrit notamment :
"Des interprétations outrancières de la notion de laïcité visent à restreindre progressivement l’espace couvert par la liberté de religion. On tend à étendre la laïcité à la société entière, en faisant croire que la laïcité consiste à effacer tout signe religieux et toute conviction religieuse de l’espace public et à confiner la religion dans l’espace privé. En fait, on s’achemine vers un retour à la situation antérieure à l’invention de la liberté de religion où le pouvoir politique régentait tout l’humain, y compris la sphère que le christianisme lui a arrachée au profit de la liberté humaine. En France, depuis la Révolution il existe un courant visant à éradiquer le christianisme en lui substituant une religion séculière : culte de la Raison, de la République, etc. Ces tendances se manifestent encore de nos jours où des ministres déclarent ouvertement vouloir introduire la laïcité comme « une religion pour la République » avec l’esprit républicain pour credo, les enseignants comme clergé. La religion redeviendrait ce qu’elle était avant le christianisme : une religion civile et un moyen pour le pouvoir de dominer entièrement les hommes. Il ne suffit pas de déclarer la liberté de conscience et la liberté individuelle d’avoir des opinions religieuses, si l’Etat tout-puissant ne reconnaît pas d’interlocuteurs qui prennent en charge la liberté de conscience et de religion. En ne reconnaissant pas d’interlocuteur chargé de cette dimension spirituelle, l’Etat a naturellement tendance à réinvestir le champ de la liberté intérieure pour formater des citoyens manipulables à l’envie.
Les courants laïcistes entretenus par des sociétés secrètes et des réseaux bien connus semblent d’ailleurs en décalage avec la postmodernité relativiste et antiautoritaire. Il est absurde aujourd’hui de considérer les chrétiens comme des menaces à la République, à la liberté et aux droits de l’homme. Ils sont ceux qui s’engagent le plus dans les associations en défense des plus défavorisés et qui paient de leur personne pour plus de justice. De même il n’y a aucune contradiction entre la foi chrétienne et la recherche scientifique. La connaissance par la foi ne s’oppose nullement à la connaissance scientifique. C’est sur le terreau du christianisme que la méthode scientifique est née, tout comme la distinction entre la sphère religieuse et la sphère politique.
Ces courants n’ont pas compris que le lien social ne s’impose pas par l’idéologie, mais qu’il nait de la liberté. On admet généralement que les sociétés démocratiques vivent sur des principes qu’elles sont incapables de fournir et qui ont leurs racines dans des visions du monde et de l’homme irriguées par les religions. Le laïcisme antireligieux n’a rien appris des dérives totalitaires du XXe siècle. C’est déplorable. Nous affirmons que la doctrine sociale de l’Eglise offre un espace de liberté et de respect mutuel autrement consistant que les rêves d’enfermement des hommes dans des idéologies sans ouverture vers le haut. La laïcité ne doit pas devenir une religion séculière. La liberté de religion, comprise comme possibilité de chercher Dieu et la vérité, est garante du lien social."
Dans le précédent article, nous faisions état des remous romains provoqués par l'entretien que le pape François a accordé, le 1er octobre, au quotidien italien La Repubblica. Cet entretien qui était disponible sur le site Internet du Vatican, a été retiré le 15 novembre, à la demande de la Secrétairerie d'Etat. Une réponse avait déjà été censurée par L'Osservatore Romano, celle où le pape affirmait que chacun avait sa conception du bien et du mal et qu'il devait suivre sa conscience.
Au lendemain de la publication de l'entretien et devant les réactions consternées de nombreux catholiques, le P. Federico Lombardi, porte-parole du Saint-Siège, avait expliqué qu'il ne s'agissait pas d'un acte du magistère, ni d'une encyclique, mais plutôt d'une occasion pour le souverain pontife de s'exprimer « avec une grande sincérité et simplicité » (sic). Pour justifier la décision de son retrait du site du Vatican, le P. Lombardi a déclaré : « Le texte est fiable dans son sens général, mais pas dans les formulations isolées entre guillemets, n'ayant pas été révisé mot à mot ».
Il est certain que le trouble causé par cet entretien, exprimé par plusieurs vaticanistes, n'a pas été sans influence sur la décision de le retirer du site du Vatican. Mais ce retrait laisse entière la question de fond qui est de savoir si affirmer que chacun doit suivre sa conscience selon la conception qu'il se fait du bien et du mal est une affirmation relativiste, oui ou non. Faute d'une mise au point nette sur ce sujet, on risque d'entendre encore parler de « papauté informelle » (Andrea Gagliarducci, mondayvatican.com, 6 octobre) et de « message 'liquide' » (Pietro De Marco, Espresso, 7 octobre). « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise » (Mt 16,18), telle est la fermeté qu'attendent tous les fidèles catholiques.
Abbé Alain Lorans
Le pape François risque d'apparaître "relativiste" - enclin à ne pas donner une valeur absolue aux dogmes -, dans son interview(1) au quotidien Repubblica, estimaient mercredi des experts du Vatican, décelant un malaise à propos de sa liberté d'expression.
La conférence de presse convoquée par le père Federico Lombardi pour évoquer le "G8" des cardinaux sur la réforme de l'Église s'est rapidement transformée mercredi en un tir nourri de questions sur les modalités dans lesquelles cette interview a été réalisée par le fondateur athée du journal Eugenio Scalfari, le niveau de fiabilité des propos du pape, la fidélité des phrases rapportées.
L'Église doit renforcer son dialogue avec les non croyants, affirmait en substance le pape François dans ce dialogue. Mais il accusait aussi les chefs de l'Église d'avoir "été souvent narcissiques", confiait se sentir parfois "anticlérical". Deux passages surtout ont ému dans les milieux catholiques : quand il a dit que "le prosélytisme est une bêtise", ou quand il a donné l'impression de relativiser la vérité chrétienne : "Chacun de nous, a argumenté le pape, a sa vision du bien et aussi du mal (...). Chacun doit choisir de suivre le bien et combattre le mal comme lui le conçoit. Cela suffirait pour améliorer le monde."
...Plus passent les semaines, plus le rapport entretenu par le pape avec la presse est indéchiffrable. Un peu comme si le Saint-Père avait deux discours : le premier qui enfile les bons sentiments et les banalités, faisant se pâmer journalistes et vedettes ; le second qui rappelle et illustre les vérités de la foi sans sourciller. Le meilleur, ou pire, exemple de cette dualité ayant été donné par la phrase du pape sur l'avortement dans son entretien aux revues jésuites : « Nous ne pouvons pas insister seulement sur les questions liées à l'avortement, (...) il n'est pas nécessaire d'en parler en permanence. » Cette phrase a donné lieu, dans le monde entier, le 19 septembre dernier, à des gros titres sur « L'Eglise obsédée par l'avortement ». Le lendemain, devant la Fédération internationale des médecins catholiques, le pape déclarait : « Chaque enfant non né, mais condamné injustement à être l'objet d'un avortement, a le visage de Jésus-Christ, a le visage du Seigneur. »
Le problème de ce double discours pontifical, déformation jésuitique diront certains, c'est que bon nombre de catholiques ne perçoivent la parole du Saint-Père qu'à travers les médias : ils n'ont donc accès qu'au pape version dalaï-lama ou candidat au Nobel de la paix et pas à l'enseignement du Pasteur suprême de l'Eglise, conforme à celui de ses prédécesseurs...."
Guillaume Luyt
La question se pose d'autant plus que le gouvernement a beaucoup plus d'égards pour les autres cultes : cette année, Manuel Valls a rompu deux fois le jeûne du ramadan. « Une manière pour la République d'adresser des regards d'affection aux musulmans de notre pays », a-t-il dit. Par ailleurs, on n'entend guère les autorités lors des profanations d'église ou de cimetière chrétien, bien qu'elles constituent plus de 80 % des atteintes aux sites religieux."
Source: Valeurs actuelles
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Toutes les déviances, tous les vices, toutes les turpitudes devraient, au nom d'une prétendue liberté sans borne, être admises et même valorisées et enseignées. Tout cela s'accompagne bien sûr d'un anti-christianisme viscéral. Il va falloir apprendre à résister et riposter. Cela ne s'improvise pas si nous voulons livrer mieux qu'un baroud d'honneur. C'est notamment l'objet de la session d'été organisée par Civitas entre le 26 et le 29 juillet. Il reste quelques jours pour s'y inscrire. Toutes les informations sont ici.
Pour la première fois de l'histoire, deux papes vivants ont rédigé une encyclique commune. Dans cette «circulaire» adressée aux évêques et destinée plus largement à tous les fidèles de l'église catholique, Benoît XVI et son successeur François affirment que la foi sert «le bien commun» et réitèrent notamment leur opposition ferme au mariage gay.
Dans ce texte de 85 pages, le Vatican répète que le mariage est «l'union stable d'un homme et d'une femme». Cette union «naît de leur amour (...), de la reconnaissance et de l'acceptation de ce bien qu'est la différence sexuelle par laquelle les conjoints peuvent s'unir en une seule chair et sont capables d'engendrer une nouvelle vie», écrit le pape, dans un nouveau rejet catégorique du mariage gay, dont la légalisation a suscité l'opposition de l'Église, notamment en France.
Le Pape François, qui recevait au Vatican, samedi 15 juin, une délégation de sénateurs et députés venus de France, avait fait clairement allusion aux législations pouvant être considérées comme contraires aux principes de l'Eglise catholique, de l'avortement à l'euthanasie en passant par le mariage homosexuel ou les nouvelles normes de bioéthique.
"Votre tâche est certes technique et juridique, consistant à proposer des lois, à les amender ou même à les abroger", avait rappelé le souverain pontife.
Le 11 février 2013, la Congrégation pour le Clergé a publié dans le Directoire pour la vie des prêtres le texte suivant (Source: Perepiscopus) :
Respect des normes liturgiques
Importance et obligation de l'habit ecclésiastique...