Insensible aux critiques de nombreux cardinaux auxquels il ne prend même pas la peine de répondre, le pape François rappelle souvent les priorités de sa mission pastorale : « non » aux frontières, une Église pauvre, la lutte contre « l’intolérance idéologique ».
Il expose là une mission temporelle et naturaliste plus que spirituelle et destinée à tourner les âmes vers Dieu.
Sous sa conduite, l’Église conciliaire se mue chaque jour davantage en une ONG humanitariste, et le pape François en un Georges Soros. Si leur langue maternelle est différente, leur langage est identique, un même combat mondialiste et destructeur des identités, qu’ils cachent sous les dehors d’un altruisme humanitariste, les anime tous deux.